Narjiss El Joubari explore les volumes comme explore la vie. Elle les visualise, les ressent…Ils lui rappellent sans doute sa ville natale, Assilah, où elle a peint ce fameux mur teinté de bleus et de gris, en 2022, qui l’a conduite à entamer sa réflexion sur les structures architecturales. Elle nous offre à contempler sa propre esthétique géométrique.Telle une allusion, L’œuvre de Joubari invite à plonger notre regard au-delà de la simple observation. L’allusion frôle par moments l’illusion….« Le monde de la magie est une illusion et l’art est de présenter l’illusion du monde » écrivait Paul Virilio. Ainsi, en faisant allusion aux formes architecturales, Narjiss nous présente une certaine illusion du monde qui nous entoure.